Une deuxième année consécutive, nous apprêtons à vivre la semaine sainte sous la contrainte pandémique. A la morosité ambiante s’ajoute une déception communautaire. Mais, cela ne doit pas nous empêcher d’aller de l’avant. Chercher des issues nouvelles pour échapper à l’emprise négative qui tire vers le bas, c’est un réflexe de survie. Par la vertu d’espérance (et en vertu d’elle) le chrétien est invité à vivre pleinement chaque instant.

Dans les situations d’épreuves les liens avec ceux sur qui on peut compter sont plus que jamais précieux*. Leur efficacité est à la mesure de la capacité que chacun peut prouver kamagra oral jelly 100 mg kaufen. Une telle capacité est toujours liée au dépassement de soi. C’est là que loge le secret du lien d’un vivre ensemble que même la mort ne peut rompre.

C’est que Jésus a montré dans sa vie, certes fortement assistée par la présente vivifiante de son père. Mais si Jésus,  éprouvé comme il l’était, a tenu bon, c’est parce que le lien avec son père s’est avéré indestructible. Les deux unis dans la même volonté, car plongés dans  un amour limpide. Sans une telle puissance d’amour qui unissait Jésus à son père, nous, infiniment plus fragiles, nous ne ferions même un pas à sa suite.

La semaine sainte nous donne l’occasion de revisiter les fondations de la foi chrétienne et leur présence dans nos vies. Profitons pleinement de ces rendez-vous avec nous-mêmes. Restons connectés.

Le pape François a proclamé  l’année en cours comme  une année dédiée à saint Joseph. Que notre vie de foi reste marquée par sa présence humble et réelle, discrète et efficace, douce et ferme. Présence aux côtés de Marie dans une durée limitée à sa vie terrestre. Présence détectée par les croyants pour leur croissance spirituelle et humaine.

Rémy Kurowski,

en la fête de saint Joseph,

19 mars 2021

*Parmi d’autres initiatives pour y faire face, nous lançons un SOS prière.